mardi 28 février 2012

Mon anniversaire

L'anniversaire est un jour spécial qu'on peut nommer: "Le jour le plus beau" parce que ce jour-là, pour la première fois, je suis venu pour une nouvelle vie afin d'opposer tous les heureux et malheureux dans la vie !

 Ce matin où je suis en train d'écrire ce petit texte est le 8 Février. Donc ça veut dire que c’est le jour de mon anniversaire. Il y a exactement 25 ans, c'est à dire le 8 Février 1987, pendant une nuit très froide de l'hiver, j'ai fait réveiller ma chère mère pour que Dieu lui donne un cher cadeau. J'ai pris le Jubilé d'argent car si quelqu'un arrive jusqu'à 25 ans, il a le Jubilé d'argent. 

Tout d'abord, je dois remercier Dieu parce que jusqu'à maintenant, il m'a donné une bonne santé et je le supplie de pardonner toutes les erreurs que j'ai faites, de m'aider à l'adorer et à servir mon pays à l'avenir. Je remercie aussi mes parents qui m'ont élevés et qui sont toujours avec moi pour les bons et les mauvais moments. Bref en tous cas, ils sont avec moi. Je remercie tous mes amis et je leur souhaite le succès dans leurs vies. 

À la fin je veux bien dire: "Dans ma vie j'ai passé beaucoup de bon et mauvais moments, mais j'espère oublier tous mes mauvais souvenirs. Avant quelque mois un de mes amis m'a raconté une nouvelle qui m'a choqué vraiment!!! Mais grâce à Dieu au début de ce mois je viens de commencer à travailler dans un charmant endroit. Et le plus beau voyage de toute ma vie jusqu'ç maintenant c'était celui du mois de Décembre 2011 avec mon cher ami Dashty quand nous sommes allés en Turquie." Alors, maintenant il faut vous me dire : "Bonne Anniversaire"

samedi 25 février 2012

"Je veux" de Zaz


Un club d'astronomie en Irak

AAAK est le premier club d'astronomie du Kurdistan irakien. Il a été créé par un groupe de jeunes très actifs issus de différentes professions : le journalisme, la géologie, la médecine, les mathématiques, la chimie, etc. AAAK a obtenu la licence officielle du ministère de l'intérieur en 2005 !

Les activités de l'association sont restreintes aux seules régions du Kurdistan et en Irak. Il n'est pas prévu d'ouvrir d'autres clubs pour l'instant dans d'autres villes.

L'association organise de nombreuses activités : séminaires de présentation, préparations d'observations astronomiques, soirées aux étoiles à la campagne à proximité des villes, observation de météores, observations du soleil et suivi d'étudiants en études doctorales.

L'association a beaucoup de relations avec les clubs d'astronomie à l'étranger et devient une organisation internationale d'astronomie qui tente de bâtir des ponts à travers le ciel...

Le club d'astronomie commence à être très connu en Irak, notamment dans les milieux scientifiques et il s'apprête à publier un magazine d'astronomie.

Dashty.

Paris a accueilli le journalisme kurde pendant des années

L'histoire du journalisme kurde commence dans des pays voisins. Le premier journal kurde est né le  22 avril 1898, au Caire, la capitale égyptienne.  Il a été créé par le prince Mighdad Midhat BadirKhan.
Les princes et princesses de cette famille sont les fondateurs  du journalisme kurde. Ils sont venus du Nord du Kurdistan. Ils ont ensuite déménagé en Europe pour se baser à Paris, jusqu'à présent. Ils ont apporté là-bas toutes leurs archives et ils ont commencé à rejoindre les centres culturels et scientifiques les plus importants comme l'Université de la Sorbonne. La Sorbonne est devenue la première et l'une des universités les plus importantes dans le monde concernant les médias du siècle dernier. Elle a reçu un certain nombre d'étudiants kurdes venus étudier la langue kurde et le journalisme, et a ouvert le département de la  langue kurde, ce qui a été considéré comme un changement très important dans la culture kurde et l'histoire des sciences.

Comme la nation kurde était  persécutée les pays envahisseurs, elle a longtemps été été interdite par les lois des pays, par exemple en Turquie. En Irak, jusqu'en 1991, il n'y a eut aucun vrai journalisme kurde, si ce n'est quelques mots qui faisaient l'éloge de Sadam. En Iran, les intellectuels kurdes et les journalistes sont confrontés à une vie très difficile, la plupart d'entre eux croupissent en prison et les autres sont sous surveillance étroite de la police. En Syrie, la situation est similaire.

Depuis 1991, le Kurdistan irakien est devenu la base du journalisme kurde.  Après avoir été l'attaché des parties,  maintenant, le journalisme kurde cherche et lutte pour être libre et indépendant comme tous  les autres dans le monde. Après des décennies de lutte, on continue de se battre pour protéger les droits de la presse et des permettre des conditions de vies meilleurs qui garantissent la transparence pour les citoyens.  

Par Chimène, journaliste et directrice du site Kurdistan on line.
 

lundi 20 février 2012

Crise d'économie


Le 12/02/2012, à l’Institut Français, pendant le cours B2 , quand on avait une pause , un mec a demandé  une fille très belle en mariage, mais elle a refusé.
Le 14/02/2012, le jour de la Saint-Valentin, dans la classe, le mec a commencé à parler, il a dit à leur prof : « Est-ce qu’on peut donner une chose rouge à la place d’une fleur ? »
Il a répondu: « Je ne sais pas ».
Le mec a tiré une tomate de sa poche et il l’a donnée à la fille qui avait refusé sa demande deux jours auparavant. La fille était très fâchée avec le mec et elle a refusé la demande en mariage. Quel dommage !
Vraiment c’est dommage, il a raté sa chance à cause de la crise économique. Parce qu’une fleur, ça coute 4$ mais un kilo de tomate, ça coute 1$. Et aussi la fille peut manger la tomate mais elle ne peut jamais manger une fleur. La fille n’a pas pensé  à ça. Si elle y avait pensé, peut-être qu’elle aurait accepté de l’épouser. 
Sharmin

Ma vie quotidienne à Erbil

Erbil est une ville et moi, je suis un homme comme tout le monde. Le matin, je me lève tôt et je me douche, mais dans certains quartiers, il n'y a pas d'eau chaude, ni d'électricité. On prend le petit déjeuner, avec du thé, du pain et du fromage. Dans ce pays, quand on fait le déjeuner on prend souvent du thé mais pas du café comme les européens. Puis chacun va à son travail en voiture, à pied, en bus etc. Mais pas en tramway ou en métro car il n'y en a pas. Il y a beaucoup de taxis privés. On commence sa journé chacun pour soi et chez soi. Tout le monde s'est trouvé son lieu de travail (par exemple dans un bureau, une école, une épicerie, un bâtiments, etc). Ensuite on a une pause déjeuner entre 12:00 et 15:00. Dans le population locale, il y a quelques différences par rapport à d'autres pays. Ici ça ressemble à la Grèce. Quand il est 11 heures, toute la vie s'arrête jusqu'à l'après midi à 15 heures.  Je crois que c'est à cause du soleil. Il fait souvent beau et chaud, pour cette raison les gens sont paresseux. Erbil est une grande vale (plaine). L'hiver n'est pas très rude. De temps en temps, je me demande si Erbil est un village ou une ville. Il y a eu des restructurations récemment, mais il n'y a pas de belles routes et de canalisitions. Et pas non plus poubelles partout, pour le moment. Après on rentre chez soi, on dîne vers 19 heures. Après on regarde la télévision, ou bien on rend visite à des amis et on discute. Toutefois ici on a pas l' habitude du cinema ou bien du théâtre car il n'y en a pas. Tout le monde travaille pour gagner sa vie. Il y a differentes populations et cultures dans cette ville. La majorite des gens sont Soran ou Badini,  il y a aussi quelques Turcs. C'est une société harmonieuse et historique


Selon moi, c'est une ville très calme où il n'y a pas de guerre. Dès que la modernité ne s'installe pas bien, le féodalisme continue. Cependant grâce a la science et à la technique, la société changera rapidement. Quant à moi je n'aime pas Erbil, ça ne me plaît pas. J'ai l'impression que c'est une ville très ennuyeuse, car il n'y a pas un seul lieu convivial, ni pas assez de bars, de pubs ou encore des lieux pour s'amuser et boire. Il n'y a aussi rien de bien au niveau des hôpitaux, des écoles et des restaurants végétariens.

Pour terminer ce sont mes idées peut-être, on n'est pas obligé de les accepter, mais je  suis habitué à la vie européenne. Pour ça, je ne veux pas vivre ici et je pense toujours à la façon de vivre en Europe.

Ramazan

Mon ombre m'a aussi quitté.

L’homme : Je n’ai jamais eu peur de la solitude dans ma vie. Chaque fois que j’étais seul dans la journée, je m’assurais de la présence de mon ombre. je me disais que je ne suis pas seul, et même le soir lorsque je rentrais sous un éclairage venant d’une maison, de la même manière, mon ombre m’était fidèle. Même s’il y avait un brin de lumière, mon ombre m’y suivait. Mais aussi, comme pour tous mes amis et pour tout mon entourage, dans toutes situations et tous les jours de ma vie, mon ombre sans gêne me disait qu’au moment du noir éternel, elle n’aura pas le pouvoir de m’accompagner et qu’elle devra m’abandonner.

 L’ombre : Mais quels sont mes blâmes pour qu’un jour tu ne puisses plus m’abriter de la lumière et qu’ainsi tu me laisses disparaître ? 

 L’homme : Maintenant, Je me souviens de ce jour où avec mesamis nous étions assis dans le jardin de notre maison. Il y avait cette jolie fille élégante. Elle était plus belle que tout ce que tu peux imaginer. Chaque matin, elle s’en allait avant que les oiseaux s’envolent quand tous les gens, à peine sortis de leur sommeil, étaient occupés à faire leur toilette devant leur miroir. Quand le soir, elle revenait, elle avait encore en tête toutes les belles paroles qu’on lui disait à longueur de journée et ces paroles ne se dissipaient que lorsque le sommeil lui fermait les yeux. Elle était très fière de sa vie et de sa jeunesse. 

Mais un beau matin, le miroir n’a pas affiché le reflet habituel. Ce matin-là, l’image reflétée correspondait à celle de ses proches, occupés à la soulever afin de l’emporter pour l’enterrer dans cette terre sur laquelle autrefois elle marchait avec fierté et égoïsme. Après quelques jours, dans une ruelle, ça a été fort étrange de voir traîner une de ses paires de chaussures dans laquelle jadis elle marchait fièrement alors que je le savais désormais sous la terre.

Un autre jour, j’écoutais une chanson à la télévision. Le chanteur, très fier, chantait sa propre vie et la vivacité de sa jeunesse. Ce qui m’a marqué, c’est qu’il était écrit en bas de la télévision « à la mémoire de l’artiste décédé ». Étrange, non ?

Moi, le jour où mon ombre m’a laissé, j’avais vécu vingt anniversaires et je ne réussissais qu’à m’en remémorer une dizaine. Quand je suis mort et que j’en ai pris conscience à regret, j’avais envie de dire à tous les vivants : « hier, moi, j’étais comme vous, et demain, vous serez comme moi ». Mais, hélas, je ne pouvais pas et ma voix ne pouvait pas sortir mais je suis sûr qu’aucune personne n’aurait aimé entendre ce que j’ai à dire et de toute façon personne n’aurait pu se mettre à ma place et comprendre.

Au fil du temps, après quelques années où j’ai été dans le monde des morts, je me suis revu vivant dans ce nouveau monde, alors que je restais distinct de la terre de ma tombe, l’effet d’une pelleteuse qui passait par là a mélangé la poussière de mon corps avec celles des autres personnes qui gisaient aussi dans le terre glaise du cimetière. Ma propre poussière était devenue anodine.

 Une petite partie de la poussière de mon corps est tombée dans ce jardin-là, où on y faisait de la musique tous les après midi et les chaussures des musiciens me passaient au dessus de la tête et une autre partie de la terre de mon corps, le potier en avait fait une cruche. C’est alors que je me suis souvenu de ce poème de Omar Khayam qui disait ainsi :

 Cette cruche, comme moi, avait, un jour, un amoureux
 Accroché aux chevaliers, visage passionné et épanoui d’amour
 Cette poignée qui est accrochée au contenant 
Fût un temps où elle était au bras d’un amoureux 

Il restait un peu de terre de mon corps qui s’était mêlée au corps d’un autre et qui se transforma en poussière, emportée par le vent de chaque côté. Je me suis alors rendu compte que la terre du corps mêlé au mien appartenait à l’égoïste qui se croyait sûr de lui et très malin et trouvait des gens comme moi impuissant, c’est pour cette raison qu'il m’a paru que dans le cimetière, il y a plein de gens qui se croyaient fort. Ne soit pas étonné par ces paroles qui sont sans signification pour toi, mais regarde un peu cette terre sous tes pieds.

Dashty.

dimanche 12 février 2012

Où travaillez-vous ?


 
Je travaille à l'école Française qui s'appelle Danielle Mitterrand.
Je suis assistante. Cette école où je travaille est très loin de ma résidence. Le directeur de cette école, qui est français, est gentil avec ses élèves.
Il me dit toujours: "Tu travailles bien, je suis content de toi".
Les élèves qui sont dans cette école sont Kurdes, Arabes, Français et Turcs. Il y a cinq assistantes, dont moi, qui sont kurdes.
Chaque jour, je lis les livres qui sont en français car je veux apprendre la langue et la culture française.
Mon travail est difficile mais il m'intéresse. Je dois travailler beaucoup parce que je veux réussir ma vie.
Et vous, est-ce que vous travaillez où vous aimez ? Ou bien voulez-vous travaillez où vous aimeriez travailler ?       Narmin

Dictionnaire en ligne.

Le TFLi, Trésor de la Langue Française Informatisé est un très bon dictionnaire en ligne.
En plus d'être un dictionnaire gratuit et en ligne, il présente les avantages suivants :
- On peut faire des fautes dans le mot recherché ! Le TLFi est le seul dictionnaire en ligne qui dispose d'un correcteur d'erreurs intelligent et vient à votre secours pour rattraper les fautes d'accents, les redoublements de consonnes, chercher les équivalents phonétiques, etc.
- On peut rechercher de façon alphabétique - comme dans un dictionnaire papier ! ( Eh oui ! Enfin un dictionnaire en ligne où l'on peut faire des découvertes et apprendre des mots nouveaux !)
- On peut même rechercher de façon phonétique ! Un clavier phonétique est mis à disposition - très utile si le français n'est pas votre langue maternelle !
- On peut aussi souligner certains aspects de la définition à l'intérieur de la recherche elle-même : synonymes, antonymes, exemples d'emploi, etc.

Projection à l'Institut Français d'Erbil : "Plein soleil"

Plein soleil de René Clément avec Alain Delon. Mercredi 16 février à 14h30 et 19h. Version française sous-titrée en anglais.



mercredi 8 février 2012

Un dimanche à Raisan

Ce dimanche(05/02/2011), je me suis réveillée à 9 heures du matin, j’étais prête à 10 heures car je voulais aller à la montagne de Raisan avec mon fiancé pour jouer  avec la neige. Il est arrivé à 10 heures trente, nous sommes partis, nous sommes arrivés  là-bas le midi, nous  avons marché sur  la neige,  j’en ai ramassé et  puis nous avons fait une bataille de neige.
Après une heure, je lui ai dit que j’avais faim. Il a acheté deux poissons pour déjeuner et nous les avons mangé dans la cave de Raisan. Vraiment, ils étaient délicieux, nous sommes restés là-bas jusqu’à 3 heures de l’après midi.


Quand nous revenions chez moi, tout à  coup, il m’a dit : "regarde au-dessus de la montagne.". j ’ai vu une antilope , elle nous regardait et elle était très jolie.
Ce jour-là,  j’ai pris beaucoup de photos. j’ai aimé ce jour et je n’oublierai pas ce souvenir.                       Narmin A.
 

 


lundi 6 février 2012

Pourquoi nous n'avons plus de cinéma ?

      Avant, il y avait deux ou trois cinémas dans notre ville (Erbil), mais maintenant il n’y en a plus. 
       Dans tous les pays, il y a des cinémas. Pour quelle raison on n’en a plus ?
      On a beaucoup de supermarchés, d’hôtels et  de restaurants. Chaque mois, on en voit qui se construisent.
      À votre avis, est-ce qu’on a plus  besoin de supermarchés, d’hôtels et  de restaurants que de cinéma ?!
     Grâce au cinéma, les jeunes peuvent découvrir les cultures des autres pays.
     À mon avis, aujourd’hui on n’a plus besoin de supermarchés mais on a vraiment besoin de cinéma. On doit dire à l’Etat qu’on en a besoin.                                  Narmin.


Un souvenir



 Je vais vous raconter un de mes souvenirs. 
En Iran, je pêchais toujours, j’étais une bonne pêcheuse. Un jour, j’ai pris un grand poisson. Un pêcheur, qui était à côté de moi,  n’avait rien pris. Il m’a demandé si je pouvais lui donner mon poisson. Je ne voulais pas le lui donner. Je lui ai dit que je voulais le manger pour le dîner. Il m’a montré un Dollar,  ça m’intéressait alors je lui ai donné mon poisson  et j’ai gagné 1$. Quand je suis rentrée chez moi, j’ai dit   à  ma mère :  « Pardon, je n’ai rien pris aujourd’hui ».            Sharmin Abdullah

Les origines de Newroz, le nouvel an kurde


Chaque année, le 21 Mars, le peuple kurde fête Newroz. Newroz désigne le premier jour du printemps et le premier jour de la nouvelle année des Kurdes.
Cette tradition remonte à des milliers d’années, à l’époque de  Kawa le forgeron. Le 21 Mars, Kawa a tué Zuhak pour libérer les Kurdes et les autres peuples du Moyen-Orient. Zuhak était un mauvais roi qui representait la cruauté, la violence et l'asservissement des peuples. Les gens avaient l'habitude de prier, chaque jour, Dieu pour les aider a se débarrasser de Zuhak.
Ce jour-là, Kawa était en colère alors il est allé au palais de Zuhak pour le tuer. Il a entouré le palais de Zuhak avec certaines personnes. Il a ensuite passé les gardes du roi et il a attrapé Zuhak par le cou. Kawa a ensuite frappé le roi à la tete avec un marteau et il est mort.
Kawa a libéré le peuple et la liberté a été proclamée dans tout le pays. Kawa et ses compagnons ont allumé un grand feu sur le sommet d’une montagne pour envoyer un message : tout d'abord, pour remercier Dieu de les aider à battre Zuhak, et d'autre part pour dire aux gens qu’ils étaient libres. C'est de là que vient la tradition du feu pendant le nouvel an kurde.

       Aujourd'hui, Newroz est une journée qui est vraiment importante pour les kurdes.    
                                                        Sarah Ibrahim

samedi 4 février 2012

Les accents avec un clavier QWERTY

On peut faire les lettres françaises en utilisant la touche ALT. Il faut garder la touche enfoncée et taper en même temps 3 chiffres :
 
a avec accent grave :
   à  ALT + 133    À  ALT + 0192

a avec accent circonflexe :
   â  ALT + 131    Â  ALT + 0194

a avec tréma :
   ä  ALT + 132    Ä  ALT + 142

c avec cédille :
   ç  ALT + 135    Ç  ALT + 128

e avec accent aigu :
   é  ALT + 130    É  ALT + 144

e avec accent grave :
   è  ALT + 138    È  ALT + 0200

e avec accent circonflexe :
   ê  ALT + 136    Ê  ALT + 0202

e avec tréma :
   ë  ALT + 137    Ë  ALT + 0203

i avec accent circonflexe :
   î  ALT + 140    Î  ALT + 0206

i with tréma :
   ï  ALT + 139    Ï  ALT + 0207

o avec accent circonflexe :
   ô  ALT + 147    Ô  ALT + 0212

o e avec ligature : (exemple : un oeuf)
   œ  ALT + 0156   Œ  ALT + 0140

u avec accent circumflexe :
   û  ALT + 150    Û  ALT + 0219

u with tréma :
   ü  ALT + 129    Ü  ALT + 154

Symbole Euro :
     ALT + 0128