mercredi 14 mars 2012

Un supermarché vient d'ouvrir à Erbil


Lors de notre visite pour le supermarché du Carrefour  (qui est considéré comme le plus grand supermarché à Erbil et qui a ouvert récemment), on  a fait  la connaissance de monsieur Bejo, le directeur de boulangerie. C’est un homme d’âge moyen, blond, humoristique. D’abord, il nous a raconté l’histoire du Carrefour, ensuite,  il nous a expliqué comment ils  faisaient des pains, des baguettes et  de croissants (qu’il nous a fait goûter). Après, il  nous a montré les équipements et les matériels qu’ils  utilisent  pour préparer du pain. Il nous a parlé des ingrédients du pain.

Durant la conversation, on lui a posé quelques questions sur la boulangerie et comment ils faisaient cuire les pains. Parmi les questions :
- Est ce que le croisant est le même qu’en France?
- M. François Bejo : Oui, il est parfaitement le même. 
- Pour quoi les travailleurs ne sont pas français alors que  Carrefour est un magasin français?
-M.B : Parce que les salaires des travailleurs  français sont  très chers. 
- Pour quoi la plupart des produits ici ne sont pas français?
-M.B : Parce que il y a des difficultés concernant le transport et la douane kurde.
- Est ce qu’il y a  des problèmes avec la marque d’origine car vous vendez des produits qui ne sont pas français?
- M.B : Non, il n’y a pas. Mais s’il arrive de l’Iran ou de la Jordanie, il y aura des problèmes.

Après, on a rencontré le directeur général Monsieur Bruno. C’est un homme grand, blond, sportif et gentil. Il était content de notre visite. On lui a posé quelques questions telles que:

- Est ce que vous êtes satisfait de votre investissement ?
- Le directeur : on est content pour le moment, c’est le démarrage, notre objectif est d’augmenter les chiffres d’affaire, on ne sait pas maintenant mais on le saura dans l’avenir.
- Quels sont vos clients ?
- Le directeur : nous avons  des clients de différentes classes : riche, moyenne  et populaire. De plus, nos prix sont appropriés pour toutes les classes.

Après, c’était le tour du directeur de nous poser quelques questions sur nos noms et nos professions. À la fin de la rencontre, nous avons pris quelques photos avec Messieurs Bejo et Bruno et nous les avons remerciés pour leur accueil et nous sommes retournés vers la boulangerie pour acheter des pains et des croissants.  

Haval. (Groupe A2)

mardi 6 mars 2012

Ma ville


Je suis arrivée au Kurdistan pour la  première fois le 23 mars 2006. Il manquait beaucoup de chose, il n'y  avait ni internet ni eau propre ni sécurité etc. Toutes les villes étaient sales. C'était un choc pour moi parce que je suis venue d'Iran et en Iran il y avait tout. Je voulais fuir le Kurdistan, je ne pouvais pas y rester.
Aujourd'hui, j’aime bien vivre au Kurdistan parce que le Kurdistan s'est développé dans  la technologie,  l'éducation,  la sécurité etc. L'économie  au  Kurdistan va aller mieux et aussi Il y a  du travail pour les jeunes.  Les compagnies étrangères viennent ici pour travailler.
Mais il y a quelques inconvénients avec les compagnies étrangères. Les étrangers prennent le travail alors il ne reste plus de travail pour les gens kurdes. La téléphone s'est vite développé mais le gouvernent n'a pas donné de conseils pour bien utiliser les téléphones. Combien de filles et garçons sont morts à cause du téléphone à cause des messages amoureux découverts par la famille... ?
 En résultat, pour passer le temps, tous les choses changent et alors il y a des choses négatives et positives. J'aimerais bien que ma ville se développe bien.
Sharmin.